Une ESN qui ne vise que la facturation client. Les bons éléments servent de formateur pour les moins bon, mais aucune prime ni salaire associé à cette fonction. Le gros point noir est le salaire 24k, pour aucune perspective d'évolution. Formations absente dans cette entreprise. Chez B-acceptance, on y vient par eque attiré par le discours, et on part dégouté par leur management. On va dire que c'est une première expérience.

Je travaille chez B/acceptance depuis 3ans mais mis à part les missions que j'ai beaucoup appréciées, il n'y a pas grand chose d'autres, c'est le système D partout, sur les salaires ( qui sont en dessous du marché mais en plus une bonne partie du salaire est constituée du panier repas), les fournitures (casque de mauvaise qualité, pas d'écrans sur tous les postes dans les locaux), les sorties avec les séminaires le weekend.. c'est dommage qu'ils s'en rendent pas compte !

Suite à une reconversion EQL, j'ai dans un premier temps été séduit par le discours de cette entreprise qui se voulait "familiale" par rapport aux autres acteurs du secteur.

Passé les premières semaines, on se rend vite compte qu'il n'en est rien. Parachuté sur des missions sans prendre en compte les appétences des consultants ni leur lieu de résidence, seule la facturation semble compter pour la direction. Aucun suivi, aucun management, formations internes sans aucun intérêt distillées par des salariés de l'entreprise qui sont loin d'être des spécialistes.

Rémunération très faible (on vous demande pourtant un BAC + 5), avec des perspectives d'évolution quasi inexistantes sauf pour les plus chanceux qui auront su se mettre les dirigeants dans la poche.

Turn over très important, les salariés quittent l'entreprise à la fin de la 1ère année afin de gagner un salaire correct ailleurs.

J'ai fui dès que j'ai pu !

Séduite après une reconversion (EQL) par les beaux discours d'entreprise familiale à l'écoute de ses employés, j'ai vite déchantée.
B/Acceptance est une ESN avec les travers classiques de ce type de structure. Aucune écoute du besoin de ses employés, on est baladé d'une mission à l'autre, quel que soit la localisation du client ou le secteur concerné, sans avoir son mot à dire avec un salaire minimum (26k/an).
Augmentation de salaire plafonnée la 1ère année, peu de perspectives d'évolution et des formations "internes" qui ne sont que de la poudre aux yeux.
Seul point positif : pouvoir revendiquer de l'expérience dans le secteur du test pour se recaser ailleurs !