Et si je devenais freelance ?

Il y a aujourd’hui 700 000 freelances en France. Aux Etats-Unis, un tiers de la population est freelance. Pourquoi cette évolution ?

  • Parce que c’est génial de pouvoir décider de bosser (ou pas) un lundi matin
  • Parce que c’est génial de pouvoir travailler depuis Paris ou Remiremont (dans les Vosges) avec un ordinateur et une connexion Internet
  • Parce que c’est génial de choisir son prix librement

Nomade digital

En SSII, quand on apprend à combien on est facturé en régie, on comprend tout de suite pourquoi ils recrutent autant.
Moi par exemple, je suis facturé 800 euros la journée. Et on s'imagine tous, une vie parallèle où on sauterait le pas pour une carrière de freelance, facturé au même tarif. Mais croyez-moi, la vie de freelance n'est pas rose !

Prenons le cas de Jonathan :


lorsqu’il a décidé de se lancer en tant que freelance, il avait pour objectif de financer son mariage. Il voulait récolter 10 000 € en 6 mois. Avec son manque d’expérience et de maturité, il a accepté toutes les missions sans réfléchir. Même celles pour lesquelles il n’avait pas vraiment les compétences. Erreur classique de débutant. Certaines semaines, il dormait 2 heures par nuit.
À ce moment-là, il facturait 250 € par jour. Il sous-estimait le temps de réalisation de ses missions. Souvent, il faisait le double voir le triple de ce qu’il avait estimé. Lorsque ses clients lui demandaient des modifications, il les acceptait toutes. Ses devis n’étaient pas détaillés. Il se sentait plus petit que ses clients et n’osait pas s'imposer. Jonathan a vécu le syndrome de l’imposteur

Test sur IE

Au retour de sa lune de miel, il est à découvert de 2 000 €. Il manque à l'époque de méthode de travail, d’organisation et d'un rythme de travail épuisant. Mais il s'est accroché et aujourd'hui :

  • Jonathan travaille en moyenne 30h par semaine
  • Il prend 5 semaines de vacances par an, bientôt 6
  • Il génère un chiffre d’affaires annuel de 100 000 €.
  • Son tarif est passé de 250 € la journée à 840 €
  • Il ne travaille que sur des projets qui le passionnent, choisit ses clients et les conditions de travail.
  • Il est passé de simple exécutant à expert

Pour un freelance, il n’y a que la progression qui compte.

Il ne faut pas avoir peur d'apprendre !
Toujours à l'affût des nouveautés, le freelance a le droit à l'erreur et a ses limites.
C'est pour cela qu'il faut également savoir dire non au client et gérer son emploi du temps.
De toute façon, les SSII vous le diront, ce n'est pas les clients qui manquent !

Sans mission

Comment devenir freelance ?



Grâce à la plateforme MALT, il est devenu très simple de devenir freelance.
En quelques clics, créez votre profil et choisissez les missions qui vous plaisent !


Voici ce que les anciens employés de SSII, maintenant freelances, veulent vous dire :


  • Walid Chergui : "Le freelance me donne une liberté de choix des missions et des sujets sur lesquels je souhaite intervenir. Cela me permet également de consacrer du temps pour faire de la veille technologique et assister à des conférences; essentielles pour rester à la page dans mon domaine.
    Le freelancing me donne aussi la possibilité de prendre des off, d’explorer de potentielles idées de start-up, ou encore de monter des formations.
    Les avantages que je viens de citer sont plus difficiles à avoir en travaillant en tant que salarié."


  • Matthieu Ducrocq : "Soit fier de ce que tu écris et prends le temps de bien l’écrire. Garde à l'esprit que tu n’écris pas pour le compilateur mais pour les autres développeurs qui, plus tard, seront amenés à lire ton code."


  • Julien Chichignoud : "Comme dans tous les domaines, un client satisfait est un client qui reviendra. Il faut néanmoins SAVOIR DIRE NON si la mission semble techniquement trop complexe par rapport à notre expérience ou si le client demande des prestations supplémentaire sans réévaluer son budget. Dans le cas contraire, on risque de s’engager dans un mission complexe et personne ne sera satisfait."


  • Stéphane Petit : "Je voulais être mon propre patron et ainsi avoir la totale liberté de mes choix. Pouvoir choisir les projets sur lesquels travailler, établir une relation de confiance avec mes clients en accord avec mes valeurs ou encore organiser mon emploi du temps à la carte.
    Cela fait 3 ans que je suis à mon compte et je ne regrette rien. Être indépendant procure un sentiment d’accomplissement incroyable."


  • Romain Maton : "En tant que freelance, on ne peut jamais se reposer sur ses lauriers, surtout dans le Web où les frameworks changent quasiment tous les ans. Du coup il faut prendre plusieurs heures par semaine pour se tenir au courant avec des articles souvent très techniques. Si vous n’aimez pas la veille techno, réfléchissez bien avant de devenir freelance !"




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