Atos Origin 3.04/10

26 notes
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Anonyme note 1/10

C'est boite ou la reconnaissance est inconnue. Le discours est toujours le même ce que tu a fait avant ça ne compte pas.J' ai perdu beaucoup de temps et appris mon vrai travail tout seul. Aujourd'hui je m épanouis mieux à la concurrence.
Les managers sont de vrai guignols qui ne connaissent pour la plus par rien à l'informatique à part comment brancher une souris...
un conseil à éviter ou pas rester longtemps.

Anonyme note 0/10

Rentrer jeune diplômer en 2008 plein d’ambitions, j’en suis ressorti fin 2014 avec une dépression à tendance suicidaire.

Vous répondez à une annonce d’administrateur Systèmes et Réseaux, on vous reçoit pour un poste bientôt disponible. Mais, car il y a toujours un « mais » pour te placer chez le client on va commencer par te faire rentrer comme … techniciens micro.
Le salaire n’est pas mirobolant 1754€ brute … les mois passent et vous ne voyez jamais arriver le poste pour lequel on vous avait répondu. Très vite j’ai compris dans mon cas, que j’avais été embauché pour remplacer un tech réseaux en arrêt maladie et qu’on ne voulait pas une branque non plus.

Mon destin se limitait à être viré en fin de CDD. Sauf que … la RH a oublié d’envoyer l’avenant de prolongation … je me suis donc retrouvé en CDI. Pression pendant un mois pour me faire signer un avenant antidaté. J’ai tenu bon et ai tout refuser. (J’aurais mieux fait de me péter une jambe ce jour-là.)
Managers incompétent et autoritaire, « team leader » déchirer à la coke.
Ma première prime et « évolution » de poste, je l’ai eu au bout de 2ans, après avoir menacer de porter plainte pour harcèlement moral après qu’un manager ai fait une intrusion dans ma vie PRIVER.
Changement de client donc, le taff a le mérite d’être plus intéressant, les managers sont compétents pour la moitié, mais on me laisse gérer avec le temps mon propres service. (Sans me donner le grade de manager ne faut pas abuser.) Toute bonne chose arrivant à son terme, le client ne renouvelle pas après 3 ans pour une histoire de cout.

Et là ce fut l’enfer. On me propose de passer en supervision, mais deux jours avant le début de cette mission, le poste disparait, après 2 semaines d’intercontrat on me propose de devenir HOTLINER. Je refuse et je dois me justifier. N’ayant jamais eu de statu officiel d’admin, je ne peux prétendre à ce genre de postes. Je fais bloque.
On m’envoie sur une mission de tech réseau, ou après deux semaines je n’ai toujours aucun accès, ni droits. Quand j’en fais la réflexion au manager, je me fais littéralement insulter. Je suis pas digne de confiance, je suis un bon a rien, je n’arriverai jamais à rien ici.
Je fini en arrêt maladie pour dépression à tendance suicidaire. Durant mon arrêt maladie, je reçois une convocation pour entretiens préalable à licenciement. Je ne m’y suis jamais rendu, après 6 mois d’arrêt et droguer avec tout les anti-dépresseurs du marché, j’ai opté pour un abandon de poste.
En plus de ce que j’ai vécu, je ne parlerai pas de ce que j’ai vu, mais AtoS est une boite à fuir. Il y a tellement mieux ailleurs, aujourd’hui j’ai été embauché dans une plus petite SSII ou je suis à mon véritable poste et ou je touche 3 fois plus que ce que je touchais chez eux.

Anonyme note 0/10

Cette entreprise n'a rien pour elle, des procédés parfaitement déloyaux pour décourager les salariés et les pousser â partir, une réputation execrable auprès de ses clients et une absence complète de vision autre que de faire des sous en rachetant sans cesse des entreprises pour les siphonner. Les salariés de Gemalto l'ont échappé belle !

Anonyme note 1/10

J ai quitté atos il y a un an.
En partant j ai laissé 2800 euros‚¬ entre ndf, congés, jours de recherche d emploi car ancien bull. Je les ai récupéré 6 mois après car j ai envoyé une lettre au rh en recommandé comme quoi je partais au prud homme. Finalement payes au bout de 7 mois.
Sinon management inexistant. On a eu fantôme 1 puis 2 puis 3 en un an et demi... aucun n est venu sur site se présenter alors que nous etions 15+ sur le site.
Entretiens annuel ? Lol... faudrait deja savoir qui est son manager.
Bref a tous ceux qui sortent d école, allez y pour avoir de quoi a manger puis au bout de deux ans fuyez pour avoir une augmentation a 15% en passant chez un autre vendeur de viande ...

Anonyme note 2/10

Je travail pour Atos Montpellier depuis 2014. Et c'est déplorable. Déja à l'embauche, 1 chance sur 2 de ne pas avoir votre salaire le premier mois. Les RH s'en moquent. J'ai même entendu des commerciaux nous appeler "Ressource n°1", "Ressource n°2"...

Si vous avez un probleme personne ne vous aide, 1 RH pour 3 agence, du coup elle est débordée, du coup le moindre problème prends 6 mois a être résolu.

Il faut négocier un bon salaire à l'embauche parce qu'aucune augmentation n'est possible par la suite.

Anonyme note 1/10

Boite de merde
Pas sérieuse
Pas de suniors que des juniors sur lesquels on compte a 200%
Salaire merdique
Gel de salaire
Pas de perspectives d'évolution!

Anonyme note 7/10

Vu que j'ai un statut spécial sur le site de Rennes, je n'ai vraiment pas à me plaindre.

Mais j'approuve largement toutes les critiques faites par mes collègues parisiens. Je sais ce qu'ils subissent...
Pour résumer :

sur Rennes : collègues sympas, paye intéressante, locaux agréables (neufs), situé dans un coin sympa.

Sur Paris : managers à la ramasse, paye inappropriée, etc... (la liste est très longue)

Sur les 2 : laissez tomber les plans de carrière si vous n'avez pas l'esprit d'un écraseur de têtes.

Anonyme note 4/10

- Gestion des ressources nulle
- Manager à la ramasse complète
- Plan d'évolution inexistant
- Salaire tirés vers le bas

Pour une aussi grande boite vraiment pas terrible ....

Anonyme note 3/10

Technicien : système d'exploitation MVS. (8 ans d'ancienneté)

N'attendez aucune considération de vos responsables. Vous êtes juste là pour rapporter du fric à la boîte !!
Négociez bien votre salaire dès le départ car après c'est fichu. Une moyenne de 2% d'augmentation tout les 3 ans, et encore il faut se battre et pleurnicher pour les avoirs.
Les "commerciaux" vous ressortent toujours le même discours bidon : on ne peut rien faire de plus pour toi, les temps sont durs, c'est la crise....
D'ailleurs, le meilleur conseil que l'un d'entre eux m'a donné c'est : si t'es pas content, vas voir ailleurs...
Des entretiens individuels annuels.... tous les 3 ans :-) Mais bon, peut importe car ces derniers ne servent à rien. Les personnes qui jugent votre travail et vous fixent des objectifs ne savent même pas ce que vous faîte comme métier et n'ont aucune compétence technique.
La paye étant externalisée, les erreurs sont nombreuses (frais de repas manquants, solde jours de congés erroné, heures sup. non payées). Je vous conseille de vérifier scrupuleusement chaque fiche de paie.
Au fur et à mesure des différentes fusions, achats d'entreprise, regroupements de services, réorganisations, vous perdez des avantages : remboursement carte orange qui passe de 100% à 50%, frais de repas à la baisse...
Bref, il faut être conscient d'une chose : les SSII sont des marchants de viande. Les seuls mots de leur vocabulaire : marge, profil, rentabilité.
Chez Atos, vous êtes un numéro noyé dans la masse. Pour sortir du lot, vous devrez lécher les bottes de beaucoup de personnes et vous montrer plus "requin" que les autres.
Atos étant une entreprise mondiale, les dirigeants ont les yeux tournés vers les pays "émergeants" où les perspectives de profils leur font oublier le reste.
Les infos (email, courriers) que vous recevez ne parlent que de la Chine, de l'Inde ou du Maroc.
En France, la politique de cette entreprise est simple ; la preuve en est avec le plan de restructuration mis en place récemment : on pousse les anciens qui ont les plus gros salaires vers la porte de sortie et dans le même temps, on lance une campagne de cooptation afin de recruter des petits jeunes diplômés qu'on paye avec des queues de cerises !!
Bref si vous y tenez vraiment, venez y pour vous faire la main et allez ensuite voir ailleurs.

Seul point positif mais qui n'est pas lié à Atos : le client vous considère en général mieux que votre propre employeur. Une certaine solidarité entre collègues sur le terrain.

Anonyme note 3/10

je vient de quitter atos après 8 ans de présence.
je suis ingénieur de production Unix/windows.
j'ai été presque partout sur paris : Suresnes, Aubervilliers, La Défense et Nanterre
je suis parti pour prendre un peu de $ et voir autre chose, me repositionner sur des fonctions projets/management qu'Atos ne voulait me confier.
bien que j'étais leader sur un client depuis 4 ans, lorsque j'ai dit que je souhaitait poser ma démission, ma chef m'a dit que j'avais raison de partir...qu'il fallait faire ça pour évoluer.
consternant!
Ajouter à cela, des offshoring de plateaux technique niveaux 1 vers l'Inde et l'Indonesie en préparation, des hotlines neashorée au Maroc.
une énième réorganisation ( 1 tout les 3 mois en moyenne!) et une incertitude financière et politique due aux fonds de pensions américains qui détiennent 21,5% du capital; je dit que ça pue !

Paye:
comme partout désormais, si tu négocie bien à l'entrée ça va...peu ou pas d'augmentation.
les changements de fonctions ou de responsabilité en interne sont catastrophique, le salaire ne suis pas et pas de formation pour aider à la transition...ou alors des formations 'coin de bureau'

Respect:
tu est un numéro ! tu as le droit de te taire et de ne pas en abuser...
pas de merci si tu assure et engueulade assurée si ça foire, surtout si ce n'est pas de ta faute !
Même si tu as prévenu que ça allait foirer !

Sécurité:
Honnêtement, avec tout les bras cassé et les cas sociaux qu'il y à; avec toutes les bourdes que j'ai pu voire faire; je n'ai vu personne se faire virer! je ne sais pas ce qu'il faut faire pour mériter ce sort...

équilibre:
là, ça dépend vraiment du service...c'est même trop inégal! y à des mecs qui arrivent à 11h et se tirent
à 17h...y en à qui font du 8h 20h..je connais des mecs qui sont là depuis 10 ans et qui bullent toute la
journée et d'autres qui bossent comme des damnés matin, midi, soir et WE.

Carrière:
a part le lobying, nada...
t'est à ta place et tu y reste !
En plus si tu est trop bon dans ton job, tes managers ont aucune raisons de te faire évoluer.
Si tu est mauvais et un peu doué en politique, c'est une autre affaire
pas de plan de carrière, ni de plan de formation. entretiens annuel inutile, quand ils ont lieu. En plus tu change de chef presque tout les ans à cause des réorganisations, donc les objectifs et les promesses qui vont avec sont à jeter au panier...

Collègues:
comment en vouloir au gens d'être démotivés ?
il y à des gens pleins de potentiels qui ne demandent qu'à être drivé correctement.
là aussi, il y à des tout...des incompétents chroniques et des paresseux, et heureusement des gens compétents et de bonne volonté.
depuis quelques années, l'ambiance se détériore, le stress gagne...
il y à surement pire, mais c'était mieux avant

Managers:
Là aussi il y à un peu de tout...les vrais manager de formation, pas toujours technique mais qui savent quand même faire tourner un service.
et puis les pauvres mecs qui ont été propulsé petit chefs, sans formation ni support et encore moins avec les coudées franches pour être autonomes..ils en bavent...et leurs subordonnés aussi!

Fun :
y à moyen de s'éclater techniquement sur certains projets, mais c'est de plus en plus rare...
les clients, comme atos, deviennent de plus en plus radin..sans moyen il n'y à pas de projet viable.
il faut avoir le bol d'avoir un bon chef, un bon chef de projet et des collègues compétent et motivés.