Phylo note 0/10 pour Atos Origin
Rentrer jeune diplômer en 2008 plein d’ambitions, j’en suis ressorti fin 2014 avec une dépression à tendance suicidaire.
Vous répondez à une annonce d’administrateur Systèmes et Réseaux, on vous reçoit pour un poste bientôt disponible. Mais, car il y a toujours un « mais » pour te placer chez le client on va commencer par te faire rentrer comme … techniciens micro.
Le salaire n’est pas mirobolant 1754€ brute … les mois passent et vous ne voyez jamais arriver le poste pour lequel on vous avait répondu. Très vite j’ai compris dans mon cas, que j’avais été embauché pour remplacer un tech réseaux en arrêt maladie et qu’on ne voulait pas une branque non plus.
Mon destin se limitait à être viré en fin de CDD. Sauf que … la RH a oublié d’envoyer l’avenant de prolongation … je me suis donc retrouvé en CDI. Pression pendant un mois pour me faire signer un avenant antidaté. J’ai tenu bon et ai tout refuser. (J’aurais mieux fait de me péter une jambe ce jour-là .)
Managers incompétent et autoritaire, « team leader » déchirer à la coke.
Ma première prime et « évolution » de poste, je l’ai eu au bout de 2ans, après avoir menacer de porter plainte pour harcèlement moral après qu’un manager ai fait une intrusion dans ma vie PRIVER.
Changement de client donc, le taff a le mérite d’être plus intéressant, les managers sont compétents pour la moitié, mais on me laisse gérer avec le temps mon propres service. (Sans me donner le grade de manager ne faut pas abuser.) Toute bonne chose arrivant à son terme, le client ne renouvelle pas après 3 ans pour une histoire de cout.
Et là ce fut l’enfer. On me propose de passer en supervision, mais deux jours avant le début de cette mission, le poste disparait, après 2 semaines d’intercontrat on me propose de devenir HOTLINER. Je refuse et je dois me justifier. N’ayant jamais eu de statu officiel d’admin, je ne peux prétendre à ce genre de postes. Je fais bloque.
On m’envoie sur une mission de tech réseau, ou après deux semaines je n’ai toujours aucun accès, ni droits. Quand j’en fais la réflexion au manager, je me fais littéralement insulter. Je suis pas digne de confiance, je suis un bon a rien, je n’arriverai jamais à rien ici.
Je fini en arrêt maladie pour dépression à tendance suicidaire. Durant mon arrêt maladie, je reçois une convocation pour entretiens préalable à licenciement. Je ne m’y suis jamais rendu, après 6 mois d’arrêt et droguer avec tout les anti-dépresseurs du marché, j’ai opté pour un abandon de poste.
En plus de ce que j’ai vécu, je ne parlerai pas de ce que j’ai vu, mais AtoS est une boite à fuir. Il y a tellement mieux ailleurs, aujourd’hui j’ai été embauché dans une plus petite SSII ou je suis à mon véritable poste et ou je touche 3 fois plus que ce que je touchais chez eux.